Avec ses rots et ses pets, une vache laitière émet chaque année une quantité de méthane équivalant aux émissions de GES d’une voiture qui parcourt 20 000 kilomètres. Ottawa vient d’autoriser la mise en marché d’un additif alimentaire qui risque de transformer la lutte contre le réchauffement climatique à la ferme. Le 3-NOP permettrait de réduire en moyenne de 30 % les émissions de méthane d’une vache laitière et en moyenne de 45 % celles des bovins de viande.
Avant la sortie de son, Shaina Hayes(BSc [Ag.Env.Sc]) sur les sources d'inspiration de sesœuvres et sur le lien entre son agriculture et sa musique.
Des Montréalais se désolent de l’ampleur du gaspillage alimentaire, car ils voient passer, chaque semaine, un énorme camion rempli de nourriture provenant des épiceries qui ne l’ont pas vendue.
Les temps sont durs dans l’industrie du prêt-à-cuisiner et des boîtes-repas. Afin d’être capable de poursuivre ses activités, Cook it s’est mise à l’abri de ses créanciers et compte se faire racheter par la britanno-colombienne Fresh Prep Foods. Des créanciers de l’entreprise québécoise– parmi lesquels on retrouve le Mouvement Desjardins et le Fonds de solidarité FTQ – pourraient laisser d’importantes sommes sur la table.
Les aînés de 65ans et plus qui respectent les recommandations du nouveau Guide alimentaire canadien pourraient ne pas obtenir suffisamment de certains nutriments importants, prévient une nouvelle étude publiée par des chercheurs de l’Université VRƵ.
S’il est vrai que les plus récentes recommandations du sont principalement axées sur la prévention des maladies chroniques, notre guide national prodigue-t-il des conseils nutritionnels adaptés à l’ensemble de la population canadienne?
L’équipe se voit accorder les fonds dans le cadre d’un investissement national de 4,5 millions de dollars visant l’élaboration de solutions génomiques pour la lutte contre la résistance aux antimicrobiens et la préparation aux pandémies.
En réponse à la question d'un lecteur, La Presse s'est penchée sur les origines du groupe Metro avec l'expertise de l'économiste agricole Pascal Thériault, Directeur du programme deGestion et technologies d'entreprise agricole de VRƵ.
Après la réduflation, c'est au tour de la déqualiflation d'être la cible des critiques de consommateurs préoccupés par ces stratagèmes commerciaux qui donnent l'impression d'en avoir moins pour son argent. Le gouvernement Trudeau promet d’enquêter sur la pratique, mais des experts jugent que des mesures immédiates s’imposent.
Dans la plupart des cas, les substitutions d’ingrédients sont pratiquement imperceptibles. Mais les changements de recette de certains aliments laissent des traces.
Photo: La Terre de Chez Nous
La crème de la crème du monde agricole s'est réunie dans la grande salle de bal du Château Frontenac le 21 octobre pour honorer trois nouveaux intronisés au Temple de la renommée de l'agriculture du Québec.
Des hommages ont été rendus à André D. Beaudoin,Charles Vincentet Réjean Vermette (photo ci-dessus de gauche à droite), sous l'œil vigilant des dignitaires présents, dont le ministre provincial de l'Agriculture, André Lamontagne.
La pomme est pourtant en constante réinvention.L’espèceMalus domesticase décline en quelque 7500 variétés mises au point au fil du temps.
« Aujourd’hui, les gens veulent des pommes croquantes et sucrées. Le Québec importait beaucoup de Granny Smith il y a peu ; très acides, elles sont maintenant beaucoup moins prisées », explique David Wees, chargé d’enseignement en horticulture et en biologie végétale à l’Université VRƵ.
Même si elle a grandi sur une ferme, Stéphanie Naud, n’avait jamais touché à une hache ou à une scie avant d’étudier au campus Macdonald de l’Université VRƵ, à Sainte-Anne-de-Bellevue, sur l’île de Montréal.
« J’ai toujours été une sportive de nature, raconte Naud. Je voulais rejoindre une équipe au cégep ou à l’université et les choix n’étaient pas très nombreux. J’ai appris qu’il y avait un club interuniversitaire de bûcheronnage, le seul au Québec. J’étais intriguée et je suis allée faire les essais.»
Les consommateurs ne sont pas les seuls à devoir gérer la hausse du prix des aliments. Les entreprises qui fabriquent la nourriture sont dans le même bateau et elles modifient la recette de leurs produits afin d'économiser de l’argent. Notre santé est-elle en jeu?
« Au Québec, ça n'a pas été bien cette année non plus. On perd la Californie, il reste la Floride, il reste le Mexique. On va espérer que ça aille bien quelque part parce qu'on va payer pour, un jour, » a déclaréPascal Thériault, l’agronome et économiste à l'Université VRƵ, à Luc Ferrandez, animateur de 98,5fm.
Québec importe énormément de la Californie pour les fruits, les légumes et le vin.
Bien que la croissance des prix en épicerie se poursuive à un rythme plus élevé que l’inflation, elle a ralenti en juillet, selon Statistique Canada, et certains articles affichent actuellement sur les tablettes le même prix que celui indiqué en février, a constaté La Presse.
Or, ce «répit» estival pourrait être de courte durée, prévient Pascal Thériault, agronome et économiste à l’Université VRƵ. Et il faut tout de même se rappeler que la facture d’épicerie demeure élevée, dit-il.