Le 11 juin 2024, CQDM a annoncé la création du Réseau de développement et de production de thérapies l'ARN, qui offrira des services de biofabrication en thérapies ARN aux chercheurs universitaires et industriels.
Les projets basés au Québec ont reçu plus de la moitié de l'allocation nationale totale, ce qui démontre la force de la province dans la science transformatrice de la éԴdzܱ.
La Plateforme translationnelle de VRƵ pour la recherche sur l’autisme éclaircira les bases neurobiologiques de ce trouble
La Fondation canadienne pour l’innovation (FCI) vient d’accorder une aide financière de 10,6 millions de dollars à un récent projet réunissant le Neuro, l’Université VRƵ et l’Institut de recherche du Centre universitaire de santé VRƵ (IR-CUSM), à même son fonds d’innovation.
Le professeur David Ifeoluwa Adelani (École d'informatique) est nouveau titulaire d'une chaire à VRƵ, tandis que les professeurs Joelle Pineau et Reihaneh Rabbany ont vu leur mandat renouvelé.
Les chercheurs proposent un nouveau modèle de classification pour la maladie de Parkinson
La liste annuelle comprend 16 chercheurs parmi les plus cités au monde. Le Canada conserve sa 6e place dans le classement mondial.
Lors de la conférence de l'ACFAS de cette année, qui s'est déroulée du 8 au 12 mai à l'Université de Montréal, la MoBI a organisé un colloque de deux jours, mettant en lumière la recherche sur le multilinguisme au Québec. Nos présentatrices invités : Natalia Dankova (UQO), Marianne Paul (UQTR), Marie-Lourdes Lira-Gonzales (UQAT), Julie Bouchard (UQAC), se sont jointes à de nombreux collaborateurs et chercheurs principaux de MoBI pour présenter leurs recherches. Cet événement nous a permis de présenter nos recherches en français !
En juin, MoBI s'est rendu à Toronto pour le 84e congrès annuel de la Société canadienne de psychologie. Consultez le résumé de notre symposium intitulé Le multilinguisme à travers le développement (résumé en anglais) :
Les tuteurs d’apprentissage automatique ont des conséquences surprenantes à la fois positives et négatives sur les étudiants
Ces projets permettront de découvrir l’origine génétique des maladies, d’expliquer la formation de la cognition et de la mémoire et d’améliorer la précision chirurgicale et le diagnostic après une commotion cérébrale
Des chercheurs découvrent le premier marqueur génétique de sévérité pour la sclérose en plaques, ouvrant ainsi la voie à des traitements pour éviter l’invalidité à long terme
Une étude, portant sur plus de 22 000 personnes atteintes de sclérose en plaques, a permis de détecter la première variante génétique associée à une progression rapide de la maladie, susceptible de conduire à une perte de mobilité et d’autonomie au fil du temps.
Dans le cadre du partenariat avec Novartis Pharma Canada inc., un moyen rapide est mis en place pour faciliter la contribution des patients à la recherche
Cette découverte a des implications diagnostiques et thérapeutiques pour un grand nombre de patients au niveau international
Une étude publiée dans la revue New England Journal of Medicine le 14 décembre 2022 décrit l’identification de l’erreur génétique responsable d’une forme d’ataxie héréditaire fréquente qui va permettre d’arrêter le diagnostic de centaines de patients au Québec et d’ouvrir la voie à de nouveaux traitements pour cette condition neurodégénérative.
Un seul logiciel réunit plusieurs cartes du cerveau en un même lieu
Le cerveau est un organe complexe et aucun mode d’imagerie n’arrive à saisir toutes ses fonctionnalités. Au fil des années, les « cartes cérébrales » se multiplient, chacune se concentrant sur des processus différents, allant du métabolisme aux fonctions cognitives. Sans nier l’importance de ces cartes, leur utilisation isolée limite les découvertes scientifiques.
L’objectif est de connaître l’évolution des symptômes post-COVID et leur incidence sur la vie des patients
Depuis le début de la pandémie, le Québec compte plus de 1,1 million de cas de COVID-19 et, selon les estimations actuelles, jusqu’à 330 000 personnes dans la province pourraient avoir ce que l’on appelle la COVID longue, ou syndrome post-COVID-19.