Forts de leur collaboration visant à accélérer la recherche sur les maladies neurologiques, trois acteurs majeurs du domaine des sciences de la santé au Canada unissent leurs forces dans un partenariat unique de plusieurs millions de dollars pour créer une plateforme de développement de nouveaux médicaments. Celle-ci contribuera à faire avancer le développement de nouveaux traitements pour quelques-unes des affections les plus débilitantes qui soient, comme la sclérose latérale amyotrophique (SLA), aussi appelée « maladie de Lou-Gehrig », et la maladie de Parkinson.
Une découverte pourrait permettre de réparer les lésions cérébrales et médullaires
Une incursion dans le domaine de la biologie végétale a permis à un chercheur de découvrir qu’une molécule naturelle a la propriété de réparer les axones, ces structures semblables à des fils qui assurent la transmission des signaux électriques entre les cellules. Les lésions axonales sont la principale cause d’invalidité dans les cas de traumatisme médullaire et d’accident vasculaire cérébral.
Recherche et soins cliniques sous le même toit au Neuro
Au cours des cinq dernières années, l’Institut et hôpital neurologiques de Montréal (le Neuro) a inscrit au nombre de ses priorités l’étude et le traitement des maladies rares, comme en témoignent l’embauche de spécialistes et d’employés de soutien ainsi que le regroupement de certaines activités au sein d’une nouvelle équipe de recherche.
Comment l’apprentissage profond transforme la recherche en neurosciences
Dans une étude ayant fait l’objet d’un article publié le 15 février 2017 dans la revue Nature, une équipe de scientifiques composée notamment de chercheurs principaux du Centre d’imagerie cérébrale McConnell de l’Institut neurologique de Montréal a eu recours à l’imagerie par résonance magnétique pour prédire le développement de l’autisme chez des bébés.
Le CQDM et la Fondation Brain Canada unissent encore leurs forces pour financer deux nouveaux projets ciblant des besoins non comblés dans le domaine de la recherche sur le cerveau
Le 27 janvier, de grands noms des domaines du sport et de la neurologie traiteront des commotions cérébrales, un grave problème de santé qui reçoit depuis peu toute l’attention qu’il mérite.
Avez-vous déjà rencontré une personne que la musique indiffère? Elle pourrait être atteinte de ce qu’on appelle l’anhédonie spécifique à la musique, qui touche de trois à cinq pour cent de la population.
Des chercheurs de l’Université de Barcelone et de l’Institut et hôpital neurologiques de Montréal de l’Université VRƵ ont observé chez les personnes qui en sont atteintes une diminution de la connectivité fonctionnelle entre les régions corticales responsables du traitement de l’information sonore et les régions sous-corticales liées à la récompense.
Un médicament s’avère efficace pour réduire de nouvelles poussées ou une progression des symptômes
Des essais cliniques distincts ont montré l’efficacité d’un médicament appelé ocrelizumab à réduire de nouvelles poussées chez des personnes atteintes de sclérose en plaques (SP) de type cyclique et une nouvelle aggravation des symptômes dans le cas de la SP progressive primaire.
Une étude réalise un suivi de patients pour mieux comprendre les effets et les traitements possibles
Le 1er décembre, Journée mondiale du sida, est l’occasion de faire mieux connaître une maladie qui a touché 70 millions de personnes à l’échelle internationale, dont 35 millions en sont décédées.
Selon des chercheurs, une maladie neurologique aux effets invalidants chez les enfants serait liée à des mutations dans un gène qui régule le développement neuronal par le contrôle du mouvement des protéines au sein des cellules neuronales.
Deux chercheurs de l’Institut et hôpital neurologiques de Montréal (INM) de l’Université VRƵ ont obtenu du financement pour étudier une maladie neurodégénérative aux effets dévastateurs qui se manifeste chez les enfants au moment où ils commencent à marcher.
Des chercheurs de l’INM étudieront cellules souches et mutations génétiques pour mettre au point de nouveaux traitements
Des chercheurs de l’Institut neurologique de Montréal de l’Université VRƵ, qui sont des acteurs clés de l’élucidation des mécanismes à la base de la SLA, se partageront une subvention de 3,9 millions de dollars, qui fait partie des 4,5 millions de dollars annoncés le 23 novembre par la Société canadienne de la SLA en partenariat avec la Fondation Brain Canada aux fins de la recherche.
Des chercheurs ont identifié un gène chez la population canadienne-française qui prédispose au développement d’un anévrisme intracrânien (AI). Cette affection neurologique peut être mortelle et est responsable d’environ 500 000 décès par année à l’échelle mondiale, dont la moitié chez des personnes de moins de 50 ans.
Vous connaissez probablement quelqu’un qui en est atteint. Il s'agit du trouble du mouvement le plus courant et pourtant la plupart des gens ignorent son nom.
Le tremblement essentiel touche près d’un pour cent de la population mondiale, et jusqu’à quatre pour cent des personnes de plus de 40 ans. Le tremblement involontaire des mains en est le plus fréquent des symptômes, qui peuvent aussi inclure le tremblement de la tête et des jambes.
L’Institut et hôpital neurologiques de Montréal (le Neuro) annonce avec plaisir une nouvelle initiative dont l’objectif est d’atténuer la souffrance de personnes gravement malades, par une démarche de consultation spécialisée et de soins d’ensemble.