Dans un article récent, L'actualité dresse le portrait d'un passionné des petites fermes, auteur et vedette de la populaire série Les fermiers, Jean-Martin Fortier (BA'02). Cette « rock-star du bio » au Québec est très appréciée par de nombreuses personnes, même si certaines d'entre elles craignent que sa présentation de l'entreprise comme étant rentable et à la portée de tous ne soit trop optimiste.
Un entrepreneur dont la carrière en agroalimentaire a été couronnée de succès dans des secteurs aussi divers que l’élevage bovin, la pomiculture, l’acériculture et la production viticole française, et qui a presque à lui seul fait de l’industrie québécoise de la canneberge l’une des plus importantes et réputées au monde, Marc Bieler, Dip. Agr. (1958), B.A. (1964), nourrit un profond attachement pour l’environnement naturel et lui voue un grand respect depuis toujours.
Bien que les organisations non gouvernementales (ONG) soient devenues des acteurs importants en politique environnementale mondiale, nous n’avons pas un portrait clair de ce domaine. Une nouvelle étude révèle que les groupes environnementaux concentrent de plus en plus leurs actions de revendication sur la politique liée aux changements climatiques et à la justice environnementale. Leur façon de travailler est en grande partie déterminée par les inégalités régionales en matière de ressources humaines et financières.
L’intensification du trafic maritime international pourrait entraîner une forte augmentation des espèces envahissantes partout dans le monde au cours des 30 prochaines années, selon une nouvelle étude menée par des chercheurs de l’Université ³ÉÈËVRÊÓƵ.
Les résultats de cette étude, publiés dans la revue Nature Sustainability, semblent indiquer que la croissance du commerce maritime jouera un bien plus grand rôle que le changement climatique dans la propagation d’organismes nuisibles non indigènes dans de nouveaux milieux au cours des prochaines décennies.
Par Chris Chipello, ³ÉÈËVRÊÓƵ Salle de Presse
Des chercheurs de ³ÉÈËVRÊÓƵ ont évalué la facture à court terme pour les ménages et les entreprisesÂ
Le coût de la politique de tarification du carbone du Québec ne sera probablement pas très élevé pour les divers secteurs et groupes économiques, selon une équipe de chercheurs de l’Université ³ÉÈËVRÊÓƵ.