Professeure adjointe
UniversitĂ© łÉČËVRĘÓƵ
: stephanie.zandee [at] mcgill.ca
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- Chercheuse principale, Laboratoire Zandee
- Scientifique, Institut de recherche du Centre universitaire de santĂ© łÉČËVRĘÓƵ
- Professeure adjointe, Programme intégré en neurosciences
- Chercheuse, Institut-Hôpital neurologique de Montréal (Le Neuro), Département de neurologie et de neurochirurgie
- Chercheuse principale, Centre Ludmer en neuroinformatique et santé mentale
Stephanie Zandee, Ph. D., s’est jointe Ă l’UniversitĂ© łÉČËVRĘÓƵ en 2024 Ă titre de professeure adjointe au sein du Programme intĂ©grĂ© en neurosciences et de chercheuse principale au Laboratoire Zandee. Auparavant boursière postdoctorale au Centre de recherche du Centre hospitalier de l’UniversitĂ© de MontrĂ©al (CHUM), elle dirigeait la banque de cerveaux destinĂ©s Ă la recherche sur la sclĂ©rose en plaques et la sclĂ©rose latĂ©rale amyotrophique du laboratoire du Dr Prat de mĂŞme que le programme d’autopsie rapide de l’établissement.
Dans son laboratoire nouvellement implanté au Neuro, la professeure Zandee étudie l’évolution des lésions cérébrales de la sclérose en plaques (formation, destruction, régénération) du point de vue transcriptomique et protéomique, à l’aide d’approches unicellulaires et de méthodes d’apprentissage automatique. Parmi celles-ci, nommons l’imagerie par fluorescence en association avec le séquençage de l’ARN en cellule unique et en vrac, la transparisation par microscopie à feuille de lumière et le dépouillement d’images de lésions au moyen de l’apprentissage automatique aux fins d’extraction de schémas pathologiques. La professeure Zandee s’intéresse notamment à la cytokine anti‑inflammatoire IL-37, découverte il y a quelques années. Elle cherche plus précisément à comprendre son rôle dans l’homéostasie du cerveau humain et dans l’inflammation en cas de sclérose en plaques. Pour ce faire, elle analyse le tissu cérébral de personnes atteintes de la maladie et de modèles murins d’encéphalomyélite auto‑immune expérimentale (permettant de reproduire les signes cliniques de la sclérose en plaques chez la souris) à l’aide de techniques telles que la microscopie confocale, la culture de cellules cérébrales primitives humaines et la cytométrie de flux sur du tissu cérébral prélevé par autopsie rapide.
- Consultez pour obtenir la liste des publications de la professeure Zandee.
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