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Pourquoi la préadaptation

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Les opérations pour un cancer ou une maladie d’un organe vital représentent un choc majeur pour l’organisme et provoquent inflammation, détresse psychologique et douleur. La fatigue postopératoire qui se manifeste par une faiblesse musculaire, un besoin accru de sommeil et une diminution de la capacité de concentration est corrélée aux indices suivants :

  • faible performance physique prĂ©opĂ©ratoire;
  • mauvais Ă©tat nutritionnel;
  • degrĂ© de traumatisme chirurgical et intensitĂ© du stress chirurgical;
  • dĂ©tĂ©rioration postopĂ©ratoire.

Les efforts visant à améliorer le processus de récupération ont principalement porté sur les périodes intraopératoire et postopératoire. Au cours de la période postopératoire (réadaptation), il peut être trop tard pour demander aux patients ayant subi une intervention chirurgicale d’apporter des modifications significatives à leur mode de vie. En effet, ces patients peuvent être épuisés ou craignent de nuire au processus de guérison, ou encore, ils sont peut-être déprimés et anxieux dans l’attente de traitements supplémentaires pour leur maladie sous-jacente.

La période préopératoire (préadaptation) s’avère opportune pour intervenir sur les facteurs de rétablissement autres que ceux liés à la condition physique. C’est aussi le moment d’aborder la détresse émotionnelle entourant l’attente et le processus de récupération.

Le Programme périopératoire a été créé dans le but d’optimiser les capacités fonctionnelles et mentales des patients avant et après une intervention chirurgicale pour les aider à supporter le stress et faciliter un retour en douceur à leurs activités quotidiennes d’avant l’opération.

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