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Excellence autochtone

CĂ©lĂ©brer l’excellence autochtone Ă  łÉČËVRĘÓƵ

łÉČËVRĘÓƵ est fière des exploits de ses Ă©tudiants, membres du corps professoral et employĂ©s autochtones.

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Parcourir les différents types de prix dans les onglets ci-dessous.


Doctorat honorifique Lisez la biographie des personnes autochtones titulaires d’un doctorat honorifique de łÉČËVRĘÓƵ et Ă©coutez le discours qu’ils ont prononcĂ© Ă  la collation des grades.


Alanis Obomsawin, docteure ès lettres

Chanteuse, artiste, conteuse, Ă©ducatrice et rĂ©alisatrice abĂ©naquise ayant grandi dans la rĂ©serve d’Odanak, est particulièrement connue pour ses documentaires. Depuis 2017, elle est titulaire d’un doctorat honorifique en lettres de l’UniversitĂ© łÉČËVRĘÓƵ. Dans ses films, elle explore des sujets tels que l'activisme dans les communautĂ©s des Premières Nations, la crise d’Oka et l’itinĂ©rance Ă  MontrĂ©al. Mme Obomsawin a reçu plusieurs distinctions, dont l’Ordre du Canada et le prix du meilleur documentaire au Festival of Festivals de 1993 pour Kanehsatake, 270 ans de rĂ©sistance.

Discours d’Alanis Obomsawin à la collation des grades :

Douglas Cardinal, docteur en sciences

En 2017, (en anglais) a reçu un doctorat honorifique en sciences de l’UniversitĂ© łÉČËVRĘÓƵ. M. Cardinal est un architecte, designer, planificateur, activiste, philosophe et artiste pied-noir. Dans son travail, il fait une large place Ă  l’harmonie avec l’environnement et les communautĂ©s. Au nombre de ses rĂ©alisations figurent l’Ordre du Canada et plusieurs doctorats honorifiques et prix d’architecture.

Discours de Douglas Cardinal Ă  la collation des grades :

Roberta Jamieson, docteure en droit

En 2011, (en anglais) a obtenu un doctorat honorifique en droit (LL. D.) de l’UniversitĂ© łÉČËVRĘÓƵ. Avocate, activiste et femme d’affaires kanien’kehá:ka des Six Nations de la rivière Grand, elle s’est illustrĂ©e Ă  maintes reprises : elle est la première femme autochtone au Canada Ă  dĂ©crocher un diplĂ´me en droit, la première femme chef des Six Nations, la première personne non membre du Parlement Ă  ĂŞtre nommĂ©e Ă  un comitĂ© de la Chambre des communes et la première femme Ă  ĂŞtre nommĂ©e Ombudsman de l’Ontario. Mme Jamieson est actuellement prĂ©sidente d’, un organisme qui offre du soutien et de l’aide financière aux Ă©tudiants autochtones.

Discours de Roberta Jamieson Ă  la collation des grades :

Majors de promotion

DĂ©couvrez les majors de promotion autochtones de łÉČËVRĘÓƵ.



AndrĂ©ĚýMoreau

AndrĂ© Moreau Ă©tait le major de promotion de la FacultĂ© de droit de łÉČËVRĘÓƵ au printemps 2019. D’origine mĂ©tisse, AndrĂ© a grandi Ă  Penetanguishene, en Ontario. Il a dĂ©crochĂ© un baccalaurĂ©at en droit et en droit civil Ă  łÉČËVRĘÓƵ avant d’être stagiaire en droit Ă  l’Institut national de la magistrature d’Ottawa, une organisation qui se consacre Ă  la formation de la magistrature et Ă  la rĂ©forme judiciaire. Pendant qu’il Ă©tait Ă  łÉČËVRĘÓƵ, AndrĂ© a fait un stage en droits de la personne Ă  Kampala (Ouganda), participĂ© au camp de droit anishinaabe de Neyaashiinigmiing (Première Nation chippewa de Nawash), suivi un cours de droit interculturel Ă  la FacultĂ© de droit de l’UniversitĂ© de Shantou (Chine) et pris part Ă  un programme d’échange Ă  l’UniversitĂ© d’Europe centrale de Budapest (Hongrie).

(en anglais)

Tomas Jirousek

Major de promotion de la FacultĂ© des arts en 2020, Ă©tait le tout premier Ă©tudiant autochtone Ă  recevoir officiellement ce titre. Membre de la Première Nation Kainai de l’Alberta, Tomas a obtenu son diplĂ´me en sciences politiques avec distinction Ă  łÉČËVRĘÓƵ. Il commencera des Ă©tudes en droit Ă  l’UniversitĂ© de Toronto en septembre. Ă€ łÉČËVRĘÓƵ, Tomas a notamment menĂ© (en anglais), qui avaient jusqu’ici des connotations racistes. De plus, il a fait partie de l’équipe masculine d’aviron et a Ă©tĂ© le commissaire aux affaires autochtones de l’UniversitĂ©, poste auquel il dĂ©fendait les intĂ©rĂŞts des Ă©tudiants autochtones.

(en anglais)

Prix remis aux diplĂ´mĂ©s et aux membres du corps professoral DĂ©couvrez les distinctions prestigieuses dĂ©cernĂ©es aux universitaires autochtones de łÉČËVRĘÓƵ.


Aaron Mills – Chaire de recherche du Canada

En 2019, Aaron Mills, juriste anishinaabe de la Première Nation de Couchiching et membre de la Faculté de droit, a obtenu la chaire de recherche du Canada (niveau 2) en constitutionnalisme et philosophie autochtones. Cette chaire de recherche du Canada vient récompenser son travail exceptionnel dans le domaine du constitutionnalisme autochtone et de la revitalisation des lois autochtones. M. Mills est également récipiendaire du Prix Talent du CRSH, d’une bourse de recherche Pierre Elliott Trudeau, d’une bourse d’études supérieures du Canada Vanier et d’une bourse Fulbright Canada.

Le travail de recherche de M. Mills est décrit sur sa page :

Aaron Mills (Anishinaabe) travaille à comprendre le fonctionnement des systèmes juridiques autochtones et à voir comment ils pourraient contribuer au ciblage et à la modification de la dynamique violente des relations entre les peuples autochtones et les peuples colonisateurs, ainsi que des relations entre les humains et la Terre sur l’île de la Tortue (Amérique du Nord) aujourd’hui. Son projet politique principal est la revitalisation des ordres constitutionnels autochtones, lesquels placent la Terre au cœur du droit.

Aaron Mills travaille avec les Aînés et les communautés autochtones, les ONG et les organismes de défense ainsi que les gouvernements pour soutenir leurs buts dans ce domaine. De plus, il soutient les organismes gouvernementaux canadiens, les groupes de la société civile et les établissements d’enseignement désireux de s’instruire sur le droit autochtone ou le colonialisme. Il a siégé au conseil d’administration de l’Indigenous Bar Association et des services juridiques pour les Autochtones. Il a également été rédacteur en chef de l’Indigenous Law Journal, où il a créé l’espace « Community Voices ».

Ben Geboe – Bourse de doctorat Rathlyn (service social)

Ben Geboe a rĂ©cemment terminĂ© sa thèse de doctorat en philosophie, pour laquelle il a interrogĂ© des mĂ©decins et infirmiers autochtones canadiens sur leur travail auprès des communautĂ©s autochtones. Les rĂ©sultats obtenus serviront Ă  façonner les programmes d’enseignement en soins de santĂ© selon les difficultĂ©s et le vĂ©cu des professionnels de la santĂ© autochtones. Membre inscrit de la tribu sioux yankton du Dakota du Sud, Ben a grandi dans la rĂ©serve sioux de Rosebud et compte des lointains parents chez les Dakotas du Manitoba. Travailleur social, il cumule de nombreuses annĂ©es d’expĂ©rience auprès de personnes autochtones et de personnes itinĂ©rantes aux prises avec des problèmes de santĂ© mentale et de consommation Ă  New York. Ben a rĂ©cemment dĂ©crochĂ© son diplĂ´me de l’École de service social de l’UniversitĂ© łÉČËVRĘÓƵ et partage son temps entre New York et MontrĂ©al. Ă€ łÉČËVRĘÓƵ, il a occupĂ© le poste de coordonnateur auprès des Ă©tudiants autochtones pour le programme Indigenous Access łÉČËVRĘÓƵ, poste auquel il devait promouvoir les admissions d’étudiants autochtones en service social. Descendant de la famille Wakakdiduta (« Ă©clair rouge »), Ben est aussi en partie miami et cheyenne-arapaho du cĂ´tĂ© de son père. Sa mère, quant Ă  elle, est d’origine norvĂ©gienne. Il participe activement aux activitĂ©s de la communautĂ© bispirituelle et aux actions de revendication sociale en faveur de la souverainetĂ© autochtone.

Cindy Blackstock – Ordre du Canada

En 2018 et 2019, Cindy Blackstock a Ă©tĂ© nommĂ©e Officier de l’Ordre du Canada. Membre de la Première Nation des Gitxsan, Mme Blackstock enseigne Ă  l’École de service social de łÉČËVRĘÓƵ. Outre sa longue expĂ©rience dans le milieu des services sociaux, elle est connue pour son travail de dĂ©fense des droits des enfants de Premières Nations. Mme Blackstock a travaillĂ© avec le ComitĂ© des droits de l’enfant de l’Organisation des Nations Unies, l’UNICEF et l’Instance permanente sur les questions autochtones. Elle a remportĂ© de nombreux prix, dont le prix national de hĂ©ros de la santĂ© publique de l’Association canadienne de santĂ© publique en 2019, le prix de la paix Mahatma Gandhi du Mahatma Gandhi Centre of Canada en 2018, le prix Ambassadeur de la conscience d’Amnistie Internationale en 2017 et le prix pour services exceptionnels Ă  l’humanitĂ© du Congrès du travail du Canada en 2017. Mme Blackstock est Ă©galement titulaire de plus de 15 doctorats honorifiques. Pour en savoir plus, cliquez ici.

Janine Metallic – Prix Ă©quitĂ© et esprit communautaire de łÉČËVRĘÓƵ

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Janine Elizabeth Metallic a reçu en 2019 le . Ce prix récompense les étudiants, les membres du corps professoral et les employés qui « favorisent la création de liens avec le milieu et cultivent un environnement d’équité à l’Université ».

Professeure agrĂ©gĂ©e au DĂ©partement des Ă©tudes intĂ©grĂ©es en sciences de l’éducation, Mme Metallic travaille essentiellement dans le domaine des sciences de l’éducation et de la revitalisation des langues autochtones. Elle a Ă©galement Ă©tĂ© conseillère en langue micmaque au DĂ©partement de linguistique de łÉČËVRĘÓƵ et a fait partie du Groupe de travail du vice-principal exĂ©cutif sur les Ă©tudes et l’éducation autochtones. Mme Metallic souhaite actuellement renforcer les capacitĂ©s de recherche autochtones en formant et en accompagnant des Ă©tudiants autochtones de cycle supĂ©rieur ainsi qu’en lançant des projets de recherche sur l’éducation et les langues Ă  l’échelle locale. Elle a crĂ©Ă© un groupe d’étudiants autochtones des cycles supĂ©rieurs : Bourse d’éducation en recherche sur les peuples autochtones (RISE). Avec RISE, Mme Metallic a coorganisĂ© un symposium autochtone financĂ© par le CRSH sur le dĂ©veloppement des capacitĂ©s de recherche autochtones, oĂą Ă©taient prĂ©sentes des personnes autochtones de partout au QuĂ©bec, ainsi que des Ă©tudiants et membres du corps professoral de łÉČËVRĘÓƵ. Dans la revue łÉČËVRĘÓƵ Reporter : « Par son travail, Mme Metallic devrait avoir une influence considĂ©rable sur la culture de l’enseignement et de l’apprentissage pour les Ă©tudiants autochtones de łÉČËVRĘÓƵ, en attirant l’attention sur des questions liĂ©es Ă  la dĂ©colonisation, Ă  l’équitĂ© et Ă  l’inclusion des peuples autochtones ».

Joel Grant – Bourse Rathlyn (génie)

Membre de la Nation mĂ©tisse de l’Alberta, Joel Grant a rĂ©cemment obtenu son baccalaurĂ©at en gĂ©nie des matĂ©riaux Ă  l’UniversitĂ© łÉČËVRĘÓƵ. Ă€ łÉČËVRĘÓƵ, il jouait un rĂ´le actif Ă  titre d’adjoint Ă  la recherche, et il Ă©tait prĂ©sident de l’Association des Ă©tudiants de premier cycle en gĂ©nie des matĂ©riaux. Joel Ă©tait aussi le vice-prĂ©sident de la section de łÉČËVRĘÓƵ de la Canadian Indigenous Science and Engineering Society (.caISES) pour l’annĂ©e universitaire 2018-2019. Il fait actuellement une maĂ®trise en gĂ©nie chimique. Ses travaux de recherche sont axĂ©s sur l’étude du Canada, plus prĂ©cisĂ©ment les effets environnementaux de l’accumulation des microplastiques et des nanoplastiques au Canada.

Meghan Eaker – Bourse Rathlyn (soins infirmiers)

Meghan Eaker est une nehiyaw iskwew (femme crie) d’ascendance crie et europĂ©enne. Membre de la Première Nation crie de Woodland, elle a grandi Ă  amiskwachiy waskahikhan (Edmonton, en Alberta). Après avoir dĂ©crochĂ© son baccalaurĂ©at en sciences infirmières (B. Sc. Inf.) Ă  łÉČËVRĘÓƵ en 2016, Meghan a Ă©tĂ© infirmière psychiatrique Ă  l’HĂ´pital de MontrĂ©al pour enfants. Elle a rĂ©cemment obtenu sa maĂ®trise en soins infirmiers. Dans son mĂ©tier, elle a Ă  cĹ“ur d’amĂ©liorer les soins de santĂ© offerts aux peuples autochtones. Ses travaux de recherche visent Ă  renforcer les ressources des autochtones en soins infirmiers, notamment Ă  promouvoir la formation du personnel infirmier inuit.

Treena Delormier – Chaire de recherche du Canada

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Treena Delormier, kanien’kehá:ka, a récemment été nommée titulaire de la chaire de recherche du Canada (niveau 2) en nutrition et souveraineté alimentaire des peuples autochtones. Mme Delormier est codirectrice du Centre d’études sur la nutrition et l’environnement des peuples autochtones (CENEPA) et professeure agrégée à l’École de nutrition humaine. Elle est également membre du Groupe de travail sur l’alimentation et la nutrition traditionnelles, autochtones et culturelles, de l’International Union of Nutrition Sciences (IUNS) et de l’équipe de recherche du Projet de prévention du diabète dans les écoles de Kahnawà:ke.

Le travail de recherche de Mme Delormier est décrit sur sa page :

Les travaux de recherche de Mme Delormier portent sur l’alimentation et la nutrition des peuples autochtones. Elle participe aux interventions de promotion de la santé qui tiennent compte des déterminants sociaux de la santé responsables des inégalités en matière de santé vécues par les populations autochtones, particulièrement dans le contexte historique du colonialisme. Mme Delormier emploie des méthodes qualitatives et privilégie les démarches autochtones et locales. Elle est déterminée à renforcer les capacités de recherche en santé des peuples autochtones par le mentorat et la formation des étudiants et des chercheurs du milieu.

Wahéhshon Shiann Whitebean – Bourse d’études Vanier

Wahéhshon Shiann Whitebean est titulaire d’une bourse d’études Vanier, l’une des bourses d’études supérieures les plus prestigieuses du Canada. Les travaux de recherche de Mme Whitebean visent le domaine des études intégrées en sciences de l’éducation. Sa thèse est intitulée « Récits multigénérationnels du temps des externats indiens à Kahnawà:ke : évaluation des répercussions sur la transmission des langues et de l’identité culturelle autochtones ». Elle décrit ici son travail :

« Les voix autochtones sont les grandes oubliées de l’histoire canadienne. Au cours de son long passé colonial, le Canada a axé ses efforts d’assimilation des peuples autochtones au sein de la société euro-canadienne dominante en grande partie sur les enfants, qu’il envoyait dans des pensionnats et des externats indiens. Ces pratiques ont été source de douleurs et de traumatismes, dont les familles et les communautés autochtones souffrent encore aujourd’hui. En tant que femme kanien’kehá:ka de Kahnawà:ke et chercheuse autochtone, j’entreprends cette étude pour que nos voix soient entendues. Mon travail porte sur les externats indiens en tant que lieux d’acculturation autochtone. L’objectif est de comprendre les répercussions de ces établissements du point de vue d’anciens élèves et de contextualiser les mentalités et les obstacles qui entravent aujourd’hui la revitalisation des langues et des cultures autochtones. Mon travail de recherche s’articule autour de témoignages kanien’kehá:ka qui racontent comment composer avec des traumatismes historiques et multigénérationnels tout en faisant preuve de réappropriation identitaire, de guérison et de résilience. »

Pour connaître le nom de tous les lauréats d’une bourse d’études Vanier en 2020, cliquez ici.

Bourses d’études de premier cycle

DĂ©couvrez les rĂ©alisations des Ă©tudiants autochtones de łÉČËVRĘÓƵ.



André Moreau – Prix du leadership étudiant Gretta Chambers

En plus de son titre de major de promotion de la FacultĂ© de droit au printemps 2019, AndrĂ© Moreau a aussi reçu le prix du leadership Ă©tudiant Gretta Chambers, qui rĂ©compense l’esprit d’initiative et l’action en faveur de la communautĂ© de łÉČËVRĘÓƵ.

Pour lire un article de l’Université de Waterloo sur les réalisations et le travail communautaire d’André, cliquez (en anglais).

Carlee Kawinehta Loft – Prix d’engagement communautaire autochtone

Carlee Kawinehta Loft a reçu le prix d’engagement communautaire autochtone, dĂ©cernĂ© Ă  un Ă©tudiant autochtone dĂ©vouĂ© et passionnĂ© qui Ă©tudie au premier cycle Ă  l’UniversitĂ© łÉČËVRĘÓƵ et qui s’est illustrĂ© par son leadership au service d’une communautĂ©, d’une organisation ou d’une initiative autochtone.

DĂ©claration de Carlee

Je m’appelle Carlee Kawinehta Loft. Je suis une femme kanien’kehá:ka (mohawk) motivĂ©e et dotĂ©e d’un esprit de communautĂ©. Ma famille paternelle est originaire de KahnawĂ :ke et d’Akwesasne. Je possède un baccalaurĂ©at ès arts en psychologie avec mineure en science comportementale et en Ă©tudes autochtones. Pendant mes quatre annĂ©es Ă  łÉČËVRĘÓƵ, j’ai eu la chance de faire partie d’une formidable communautĂ© d’étudiants et d’employĂ©s autochtones, et j’en serai Ă©ternellement reconnaissante. J’ai su m’investir Ă  ma façon dans cette communautĂ©, en faisant du bĂ©nĂ©volat pour la Maison des peuples autochtones et en assumant les fonctions de coprĂ©sidente de l’Alliance des Ă©tudiants autochtones et de commissaire aux affaires autochtones. Je tiens Ă  remercier les nombreux Ă©tudiants autochtones – tout aussi mĂ©ritants de ce prix – qui m’ont aidĂ©e et inspirĂ©e, et sans qui une grande partie de mes travaux n’aurait pas Ă©tĂ© possible.

Je suis honorée de recevoir ce prix d’engagement communautaire autochtone; je trouve qu’il est extrêmement important que les autres étudiants voient ce type de travail communautaire récompensé, car c’est un travail difficile, et ce type de soutien compte énormément.

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Carsyn Meloche – Prix d’excellence autochtone du vice-principal exécutif

Carsyn Meloche s’est vu décerner le prix d’excellence autochtone du vice-principal exécutif. Étudiante à la Faculté de gestion Desautels, Carsyn fait actuellement un baccalauréat en commerce avec majeure en gestion stratégique.

Dallas Karonhianoron Canady – Prix d’excellence autochtone du vice-principal exécutif

Dallas Karonhianoron Canady a reçu le prix d’excellence autochtone du vice-principal exécutif. Dallas fait actuellement un baccalauréat ès arts avec concentration en anthropologie.

Denzel Sutherland-Wilson – Prix pour article exceptionnel en études autochtones

Denzel Sutherland-Wilson s’est vu remettre un prix pour article exceptionnel en Ă©tudes autochtones, qui rĂ©compense l’excellence universitaire au sein du programme d’études autochtones de łÉČËVRĘÓƵ.

DĂ©claration de Denzel

Je m’appelle Denzel Sutherland-Wilson, j’appartiens Ă  la Nation des Gitxsan, dans le Nord de la Colombie-Britannique. Je viens de terminer mon baccalaurĂ©at en anthropologie et de retourner chez moi, Ă  Anspayawx. Je fais partie du clan des Ă©pilobes Ă  feuilles Ă©troites et j’espère mettre les compĂ©tences acquises Ă  łÉČËVRĘÓƵ au service de ma maison de Tsibasa, tout en sachant sĂ©parer les diffĂ©rents savoirs.

Wilp Sim’ Maay : maison des myrtilles
Résumé de l’article : Dans mon article, je décris un programme qui consisterait à emmener de jeunes Gitxsan ramasser des myrtilles pour leur faire découvrir les aliments traditionnels et les notions de gouvernance et d’intendance environnementale. Pour ce faire, j’ai effectué des recherches sur le brûlage par placettes de myrtilles, qui a été interdit par le gouvernement de la Colombie-Britannique, ce qui a créé un fossé générationnel. Mon article vise aussi à illustrer et à renforcer les liens étroits et harmonieux que les Gitxsan entretiennent avec leurs sources de nourriture. Cet article a été préparé pour le cours sur la souveraineté alimentaire autochtone avec Gabrielle Doreen, qui m’a aidé à concevoir un projet que l’on pourrait mettre en œuvre dans ma communauté pour améliorer la souveraineté alimentaire.

Jadyn Normore – Prix d’excellence autochtone du vice-principal exécutif

Jadyn Normore s’est vu décerner le prix d’excellence autochtone du vice-principal exécutif. Jadyn suit actuellement le programme spécialisé en biomédical et en sciences de la vie et fait un baccalauréat ès sciences spécialisé en physiologie.

Jonas Henderson – Prix d’excellence autochtone du vice-principal exécutif

Jonas Henderson, qui fait actuellement un baccalauréat en génie avec majeure en génie civil, a reçu le prix d’excellence autochtone du vice-principal exécutif.

Molly Swain – Prix Sheila Finestone

Molly Swain a reçu le prix Sheila Finestone en 2012-2013 de la part de l’Institut Genre, sexualité et féminisme. Molly a obtenu son baccalauréat ès arts spécialisé en étude des femmes, avec mineure en religions du monde.

Sativa Kawakami – Prix d’excellence autochtone du vice-principal exécutif

Sativa Kawakami est récipiendaire du prix d’excellence autochtone du vice-principal exécutif. Sativa fait actuellement un baccalauréat ès sciences avec majeure en biologie environnementale à la Faculté des sciences de l’agriculture et de l’environnement.

Tomas Jirousek – Prix récompensant le courage moral en réconciliation

En plus de son titre de major de promotion de la FacultĂ© des arts en 2020, Tomas Jirousek a reçu le tout premier prix rĂ©compensant le courage moral en rĂ©conciliation, remis par Indigenous Access łÉČËVRĘÓƵ. Ce prix vient rĂ©compenser d’abord le rĂ´le moteur remarquable qu’il a jouĂ© dans la campagne (en anglais), ensuite son travail d’information et de mobilisation auprès de la communautĂ© Ă©tudiante łÉČËVRĘÓƵ.

Pour en savoir plus sur les bourses d’études et les prix décernés aux étudiants autochtones, cliquez ici.

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